|
Une version papier de Traces
et indices. Enquête dans le milieu
souterrain.
Contribution à spéléo-archéologie et à la
géoarchéologie
a été imprimée en 2024 (396 p.).
Les caractéristiques de la
publication sont 21 x 29,5 x 1,5 cm,
poids 1,2 kg, 396 pages.
|
|
|
|
|
Le document pdf de 194 pages
disponible sur internet depuis le 16-3-2015 a été
revu, refondu et augmenté en vue d'une
publication, imprimée cette fois (parution avril
2024), de 396 pages.
Il s'agit d'une nouvelle version du prédécent
document pdf de 2015 (encore librement
téléchargeable), dont le plan général s'est trouvé
conservé.
Finalement, peu de choses ont été modifiées entre
2015 et 2024, hormis le nombre de découvertes et
d'observations qui ont été intégrées dans la
version imprimée de 2024.
L'ancienne version pdf (2015) reste en ligne (lien
ci-dessous), car elle est représentative d'un
cheminement intellectuel qui n'a guère varié entre
2015 (194 p.) et 2024 (396 p.).
Plus de 200 nouvelles pages
ont été intégrées dans la nouvelle version de
2024.
La distribution d'un tel ouvrage est toujours une
difficulté pour des auteurs-éditeurs.
Toutefois, on peut obtenir l'ouvrage Traces et
indices pour un coût total de 45 euros (35 +
10 port) en m'adressant un courriel :
jeanbigot536@gmail.com
On peut toujours diminuer les coûts par des
commandes groupées.
Une photo des pages de couverture (1 et 4) et un
extrait de la table des matières sont
disponibles.
Jean-Yves Bigot
(23-4-2024)
|
|
|
Pour cet ouvrage pdf
de 2015, aucune version papier n'a
été editée,
cependant il est
possible de télécharger
le document pdf de
194 pages (taille 84 Mo).
|
|
|
|
|
La pratique et
l'expérience des grottes permettent de
déceler les nombreux témoins qu'elles
renferment, qu'ils soient d'origine
naturelle ou artificielle. En effet, les
traces ou indices laissés n'échappent pas
aux spéléologues. L'observation fine des
grottes est très formatrice et permet de
distinguer ce qui est naturel de ce qui ne
l'est pas. Et partant, contribuer à la
reconnaissance et à la protection de
témoins archéologiques ou paléontologiques
conservés sous terre. On parle alors de
spéléo-archéologie ou encore de
géoarchéologie afin de replacer la grotte
dans le contexte plus large des sciences
géologiques.
Jean-Yves
Bigot
(16-3-2015)
|
|
|
|